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Ecrivain et blogueuse (Wordpress). Quelques livres à mon actif dont trois romans à mon actif dont le dernier a reçu le prix du Jury 2016 du polar autoédité (Goodbye Gandhi).
Outre des chroniques littéraires publiées du mon blog ([URL MASQUÉE]), La Cause Littéraire, Mediapart ou précédemment Culture Chronique et Pluton Magazine, j'ai également écrit des articles sur d'autres thématiques (scientifique, économique, santé bien-être).
Pour être tout à fait claire, j'en ai assez du bénévolat dont on est souvent mal remercié(e) et veut désormais être payée pour mon travail.
Je suis parfaitement bilingue français-espagnol. Je lis l'anglais et le traduit mais le parle peu.
Je lis énormément, j'ai beaucoup voyagé et ai vécu dernièrement cinq ans en Inde (d'où mon livre Goodbye Gandhi).
En photo, mon logo qui est connu comme ma "marque de fabrique"
Amalvi Pimenta, une jeune maroquinière d’exception
Installée dans un village de l’Aude, près de Carcassonne, Amalvi vit son rêve les yeux bien ouverts avec passion et talent, humour et générosité, dans son atelier de maroquinerie O’nolan.
Extrait de l'interview
Qu’entendez-vous par une façon de penser la maroquinerie ?
Les bases sont essentielles. Je dirais que c’est un peu comme en pâtisserie où savoir faire une pâte, une génoise, une crème pâtissière, est indispensable à cet art. Les gestes et les techniques que Pierre Gerber m’a enseignés, sont les mêmes, que vous réalisiez un porte- monnaie, un sac ou une malle. Ce sont les mêmes gestes que faisaient les grands maroquiniers d’autrefois. Mais il m’a surtout appris qu’il fallait toujours trouver par soi-même la solution au défi technique que peut poser la réalisation de tel ou tel objet, tout en faisant quelque chose de fin, d’élégant de solide et de minutieux. En fait son enseignement peut se résumer en une formule : apprendre à apprendre.
Le crédit fictif des Banques ou l’argent-dette
L’argent fait partie de l’histoire humaine. Il a toujours existé, sous une forme ou une autre. Son histoire a commencé quand un quidam a compris qu’il pouvait obtenir une peau de bison contre un silex bien taillé. Pierres, coquillages ou fèves de cacao, sel et épices, vaches ou chameaux furent les premières « monnaies-marchandise » en échange de biens de valeur palpable, aliments, bétail, vêtements, etc. Ensuite et pour résumer très succinctement, on a pesé l’or ou l’argent comme « monnaie en espèces », comme en attestent les premières traces d’activité bancaire relevées dans les temples en Mésopotamie (3000 ans avt J.-C.). Après la Chine et la Grèce, ce furent les Romains qui, en développant les activités bancaires, contribuèrent à l’histoire de la banque en posant les bases juridiques des opérations financières. Les nations dominantes sur le plan militaire le furent et le sont toujours sur le plan économique, et au cours de l’Histoire, ce furent elles qui décidèrent la valeur de la monnaie
Histoire de l’opium, le siècle de la Honte (deux parties)
L’histoire de l‘opium, à la fois poison et remède, est aussi une histoire politique, militaire et économique. Il a servi et sert toujours à financer des guerres et fut également l’outil peu glorieux de la colonisation. Produit et consommé depuis la plus Haute Antiquité, que ce soit à des fins thérapeutiques ou non, sa production à grande échelle en Asie, est due surtout à la colonisation britannique et ensuite à la guerre froide.
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