L’emailing reste l’un des canaux marketing les plus utilisés et les plus efficaces.
Toutefois, compte tenu du nombre astronomique de mails que reçoivent quotidiennement vos clients, faire en sorte qu’ils continuent d’ouvrir vos messages est un vrai challenge.
Une étude réalisée par Adobe nous propose justement un tour d’horizon des erreurs à éviter pour ne pas ennuyer les destinataires de vos emailings.
Des mails trop promotionnels ?
L’enquête a été réalisée auprès de plus de 1000 employés possédant des smartphones.
À la question “Si vous pouviez changer une chose dans les mails que vous recevez de la part de marques, quelle serait-elle ?”, les personnes interrogés ont répondu :
- Des emails moins promotionnels et plus informatifs (39 %) ;
- Du contenu plus personnalisé en fonction des centres d’intérêt du destinataire (27 %) ;
- La possibilité d’effectuer un achat sans avoir à quitter le mail (12 %) ;
- Des contenus plus engageants comme des vidéos ou des images (9 %) ;
- Plus de contenu provenant d’utilisateurs du produit ou du service (9 %).
Attention à l’overdose de mails
Ce graphique recense quant à lui les choses jugées les plus ennuyeuses lors de la réception d’un mail marketing :
- Recevoir trop de mails (45 %) ;
- Des messages mal écris (23 %) ;
- Recevoir une offre inadaptée à son profil et à ses centres d’intérêt (22 %) ;
- Un email me proposant d’acheter un produit déjà acheté auparavant (22 %) ;
- Trop de personnalisation (16 %) ;
- Un mauvais design (14 %) ;
- Pas assez de personnalisation (9 %) ;
- Pas de bouton call-to-action pour effectuer un achat (8 %) ;
- Pas de vidéos ou d’images (7 %).
L’importance de l’adaptation pour les smartphones
Nous utilisons toujours plus nos smartphones pour naviguer sur le web et pour consulter notre messagerie, d’où l’importance de la lisibilité des emails sur ce support.
Lors de la lecture d’un mail sur un smartphone, les problèmes les plus récurrents sont :
- La nécessité de faire défiler le mil trop longtemps pour lire son contenu (20 %) ;
- Le temps de chargement des images (18 %) ;
- Trop de texte (17 %) ;
- Police d’écriture trop petite (17 %) ;
- La mise en page n’est pas responsive (16 %) ;
- L’absence de vidéo (5 %) ;
- Un design peu attrayant (5 %).
Vous pouvez aussi consulter l’étude complète sous forme de diaporama :