Vous-êtes vous déjà demandé combien de mots vous devez avoir sur votre page d’accueil ? Neil Patel de Quicksprout à testé pour vous. Des longs textes de vente à une page d’accueil minimale.
Alors qu’elle est la bonne approche ? La réponse n’est pas aussi simple mais nous allons quand même tenter d’apporter des éléments pour comprendre combien de mots sont nécessaires pour une page d’accueil.
Combien de mots sont nécessaires ?
Tout dépend du but que vous vous êtes fixé. Les critères varient en fonction de ce que vous voulez que l’internaute réalise sur votre page, des informations qu’ils ont besoin pour prendre une décision et réaliser une action et si ils sont conscients des solutions existantes pour leurs problèmes.
Selon Neilson Norman Group qui a étudié le comportement des internautes en termes de lecture, 79% des utilisateurs scannent une nouvelle page et seulement 16% lisent chaque mot.
Vous devez alors essayer de rendre votre page plus concise, avec une possibilité d’être scannée par le lecteur et éviter les mots à forte résonance marketing. La page sera alors plus performante à hauteur de 124%.
Après avoir analysé des centaines de sites, ils ont trouvé que les éléments qui permettent de transformer un lecteur « scanneur » en véritable lecteur sont une bonne architecture des informations et une mise en page agréable.
Les internautes vont se mettre à lire s’ils peuvent trouver rapidement l’information dont ils ont besoin.
Rendre la page aussi longue qu’elle doit l’être
La longueur de la page dépendra de la quantité de mots qui sera nécessaire pour aider les gens à accomplir la tâche souhaitée.
Par exemple, si votre objectif est d’obtenir le consentement d’un internaute pour recevoir des e-mails commerciaux, vous devrez alors rédiger le nombre de mots nécessaire pour convaincre l’internaute de réaliser cette action spécifique.
Comment trouver la bonne longueur de page ?
La longueur de la page est déterminée par la combinaison de deux éléments. Le premier porte sur l’action que les internautes doivent réaliser. Le second élément est l’information que les internautes ont besoin pour réaliser cette action.
1. Fixez l’objectif de la page
Chaque page doit avoir une fonctionnalité et un but précis. Vous pouvez par exemple créer une page d’accueil qui génère des ventes d’un produit particulier, le panier d’un site e-commerce, inscription pour recevoir des e-mails ou la création d’un compte.
Des arguments convaincants viennent servir l’objectif principal pour essayer de convertir le maximum d’internautes.
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2. Connaître les motivations des clients
Il est essentiel d’essayer de convaincre les internautes de passer à l’étape suivante.
Si vous ne savez pas les raisons qui ont poussé les internautes à venir sur votre première page, vous ne saurez pas les éléments qui pourront les convaincre de réaliser l’action suivante.
3. Préoccupations et hésitations
Des hésitations ou des préoccupations apparaissent au moment de réaliser l’action si vous n’avez pas répondu auparavant à plusieurs questions. Pour éviter ce genre de comportement, voici trois techniques à inclure.
Précisez par exemple que la démarche à suivre est gratuite et ne demande aucun paiement par carte bancaire. Vous pouvez également créer des citations pour faire un résumé de vos principaux arguments. Indiquez aussi que l’envoi d’e-mail ne sera pas considéré comme un spam.
4. Prenez conscience des problèmes et des solutions disponibles
Les arguments à prendre en compte pour essayer de vendre une application qui prédit la pluie ne seront pas les mêmes si votre message s’adresse à un agriculteur ou à un surfeur.
Selon Gene Schwartz de Breakthrough Advertising, les cinq états de conscience que les clients ont sont :
- Le plus au courant : votre cible connait votre produit et a seulement besoin de connaitre les termes de la vente.
- Au courant du produit : votre cible sait ce que vous vendez mais elle n’est pas sûre si c’est bon pour elle.
- Au courant de la solution : votre cible connait les résultats souhaités mais elle ne sait pas que votre produit peut arriver à ces résultats.
- Au courant du problème : votre cible sait qu’il y a un problème mais elle ne sait pas qu’il existe une solution.
- Aucune idée : votre cible n’a aucune connaissance en la matière mais peut cependant avoir une opinion.
En conclusion, le plus important n’est pas de se concentrer sur la longueur de la page mais sur les propos nécessaires pour convaincre l’utilisateur de réaliser votre tâche ! N’hésitez pas à utiliser Redacteur.com pour créer tous vos textes rapidement.
Etes-vous d’accord avec les explications apportées ? Avez-vous d’autres éléments à nous faire partager ? N’hésitez pas à nous expliquer votre point de vue en laissant un commentaire.
